Nouveau

Lectio divina

Ce roman est inspiré de « La légende des deux Amants » récit poétique, écrit par Marie de France au XIIe siècle et qui puise sa source dans une tradition préchrétienne. Au-delà de la beauté de l’histoire, où l’on se demande si Blanche et Aubert vont pouvoir échapper au destin tragique qu’un amour impossible leur réserve, l’objet du livre est de raviver ce récit et de lui rendre la dimension spirituelle dont il a été spolié au fil des siècles. L’idée est aussi de faire partager au lecteur la beauté mystérieuse de l’abbaye normande Notre-Dame-de Fontaine-Guérard, haut lieu de spiritualité au travers des siècles et qui accueille aujourd’hui la journée « Huperíôn », autour du livre et de la spiritualité.

La peau de Sagesse

Bien des contes, mythes ou rites s’appuient sur cet organe singulier qu’est la peau. Peau écorce, peau voile, peau interface, elle est une magicienne qui peut nous appeler à plonger en nous, et pas seulement à la rencontre de notre psyché, mais au plus profond, là où crépite la flammèche de sagesse qu’il nous faut faire grandir. C’est donc à la méditation d’un voyage vers la sagesse, au fil de la peau et des contes des quatre coins du monde, que cet essai nous invite.

Les Sentiers oubliés de la Beauté

L’homme post-moderne, propulsé sur les autoroutes de la consommation et de l’expansion technologique, a peu à peu déserté les sentiers mystérieux de la beauté, jusqu’à en perdre la trace. Cet essai, dont chaque chapitre est introduit par un petit texte de prose poétique, évoque la puissance bienfaisante de la beauté, tant au plan physique, psychique que spirituel.

Après une dissection presque anatomique des mécanismes de la beauté, de ses bienfaits et des conditions de sa perception, l’auteure nous invite à lui redonner, dans notre vie quotidienne, la place qui lui est due. Vivre en « pleine conscience » de la beauté. Que l’on soit athée ou cueilleur de ciel, la beauté est toujours une compagne bienveillante. En écoutant la vie palpiter sous son aile, on ne peut que grandir.